La vitamine B17 une alliée Santé très gourmande
La vitamine B17, surtout ne pas ce fier aux apparences ! Avec un nom de bombardier cette vitamine présente facilement et pour un prix modique est une de nos plus puissantes alliées santés. Alors avant de passer à la recette sympa (disponible dans les fiches pratiques) je vais vous raconter l’histoire douce amère de la vitamine B17.
Cet article n’a pas pour but de vous détourner des voies classiques de thérapies. Il est simplement informatif et si possible ludique sur un sujet douloureux.
La vitamine B17 Un elixir de vie à la maison
La découverte de cette vitamine date en gros des années 50 (1950) par le Dr Ernst Krebs qui faisait alors des recherches sur la théorie trophoblastique du cancer.
En gros il semblerait qu’il y ait beaucoup de similitude entre les cellules cancéreuses et les cellules pré-embryonnaire, qu’on peut rapidement nommés cellules souches
Je vous passe les détails techniques pour en venir au fait qui nous intéresse ici, la vitamine B17. Il étudia dans le cadre de sa recherche la peuplade Hunzas d’Himalaya qui ne développait aucune forme de cancer.
Après observation – l’importance de l’observation … – il nota que ceux ci consommaient non seulement énormément d’abricot, qui en soi ne contient pas grand chose pouvant ralentir les cellules cancéreuses, mais aussi énormément d’amendes de ce noyau d’abricot et d’autres arbres de la famille prunus.
Sa curiosité et surement un bon sens méthodologique le poussa à analyser la chair d’abricot, il ne découvrit rien d’intéressant sur le sujet de son étude, mais il étudia aussi les fameuses amendes des abricots.
La ce fut une révélation l’analyse biochimique prouva que les graines d’abricot avaient une extrême teneur en nitrilosides qu’il appela plus tard vitamine B17.
Les Hunzas consommaient en moyenne 100 x plus de nitriloside, d’amende amère donc, que l’occidental moyen… peut être la différence était elle dans cette petite amende que nous ne mangeons … plus jamais (je me rappelle de mes grands pères qui eux les mangeaient)
Fonctionnement rapide de la B17
Après analyse de ces fameuses amendes, il synthétisa les glycosides (sucre primaire en gros) qu’elles contenaient
- une molécule de cyanide d’hydrogène – la base du cyanure 🙂
- une molécule de benzaldehyde – mdr un autre produit toxique
- et deux de glucoses (sucre) verrouillées ensemble.
Runette tu es fou ou quoi tu nous parles de produit super hyper dangereux là ! Pas d’affolement 🙂 car pour libérer la molécule de cyanure que contient la vitamine B17, et donc par extension l’amende, seul un enzyme appelé beta-glucosidase peut le faire.
La bonne nouvelle :
c’est que cet enzyme est présent en très, très petite quantité dans le corps, mais il se trouve en quantité considérable dans les cellules cancéreuses (dû au fait que la cellule cancéreuse vit dans un milieu anaérobique et utilise les sucres comme source de production d’énergie). Ainsi, le cyanure des amendes est libéré en masse dans les cellules cancéreuses ainsi que le benzaldehyde, qui est lui aussi un poison violent lorsqu’elle est combiné avec le cyanide. La combinaison de ces deux substances a un effet 100 fois supérieures a celui des deux substances prises individuellement. Les cellules cancéreuses sont tout simplement oblitérées.
Pour ceux qui sont inquiets par le fait d’ingérée du cyanure ou autre produits toxiques je vous ferais remarquer que les chimiothérapies ne sont pas à ce qu’on peut appeler des produits bio 🙂 Qui plus est le cyanide n’est pas du cyanure, ou alors on peut dire que le plan d’une maison est la maison …
Encore une bonne nouvelle :
La nature qui fait décidément bien les choses fait que au coeur de notre organisme une autre enzyme est présente en quantité bien plus importante que la beta-glucosidase qui met en action le cyanure et le benzaldehyde.
L’enzyme rhodanese, une enzyme qui peut transformer à la fois le cyanide et le benzaldéhyde en deux substances non seulement inoffensives mais même bénéfique le thiocyanate et le salicylicate (la famille des “aspirines”, salix alba, un anti-douleur naturel).
Cherry on the cake la cellule cancéreuse elle, ne possède absolument pas de rhodanese, elle est donc complètement vulnérable à l’action du cyanure et du benzldéhyde de la vitamine B17…
Last but not least :
Comme si ça ne suffisait pas la vitamine B17, la partie cyanide, permet de réactiver une enzyme pancréatique, la trypsine qui permet de dissoudre la membrane protéinique de protection des cellules cancéreuses …
Voilà donc de manière très sommaire la description de cette fameuse vitamine B17. Alors pourquoi n’en entendons nous pas plus parlé ?
J’ai ma petite idée la dessus, vous savez combien ça coute de manger des amendes de noyau d’abricot ? 3.50€ … (le kilo d’abricot). Comment voulez vous générer des profits avec ça … (en fait on y arrive puisque les firmes bio alimentaires nous vendent à prix fort de la vitamine B17 … )
La vitamine B17 et le cancer
Quelques précisions s’imposent . Je ne suis pas médecin, je ne suis pas biologiste, donc en aucun cas vous ne pouvez associer mes propos avec un quelconque traitement anti cancer ni leur donner une valeur scientifique.
Je crois profondément que la vie et la maladie ne se limite pas à une succession de chaine de carbone ou autres associations de minéraux … comme me disait un vieux professeur suisse “il y a les même ingrédients dans un humain actif et bien portant que dans un cadavre en décomposition dans un trou c’est donc que la différence n’est pas dans le quantitatif” … merveilleux bon sens 🙂
Dans l’Ayurvéda le cancer est vu comme une désynchronisation profonde de l’Ame et du corps, comme si finalement les deux ne suivaient plus le même chemin, chacun vivant dans un corps différent … à ce sujet je vous conseille le reportage / témoignage “mon docteur indien”
Bon suffit la théorie maintenant un peu de pratique réchauffante et festoyante.
La vitamine B17 version gourmande
Je vais vous raconter comme cet article a vu le jour. Le Feu de la Saint Jean 2014, je discute gastronomie locale avec une arlésienne en costume, on arrive à la partie pâte de coing et puis à un troc elle s’occupe des coings et moi je lui fait de la liqueur de noyau d’abricot que nos grands pères buvaient. Deal 🙂
La liqueur est faite je la met en bouteille il y a 10 jours, goutte … wahou la claque ! super bon, mieux que dans mon souvenir un super bon gout d’amende amère (je kiffe l’amaretto).
Et puis il y a moins d’une semaine mon ami herboriste vient me rendre visite, papotage intensif, bonne humeur et ripaille, viens la fin du repas ou je lui propose une petite douceur … “une petite liqueur de noyau d’abricot ?” lui demandais je remplis d’innocence et d’envie de lui faire gouter un bout de mon enfance.
Le bougre éclate de rire :
“volontiers ! mais tu sais ce que tu as dans tes mains ?”
“Ben voui une bouteille de liqueur !” – lol il a bu tant que ça ???
Tu as surtout un anti-cancer gigantesque !
et nous revoilà partie pour deux heures d’explication des mécanismes physiologique du cancer, de la vitamine B17 de toute l’omerta sur les recherches, des tests fait sur les souris et des témoignages qu’il avait entendu et lu.
Ce qui lui – dsl – trouait le cul c’est de ne jamais avoir eu l’idée d’en faire une boisson agréable 🙂
Voilà très vite vous retrouverez la recette dans les fiches pratiques avec également quelques précisions sur sa consommation.
Note & Liens :
Alter info : d’autres informations sur la vitamine B17
Mon docteur Indien : vidéo et site pour ouvrir sur d’autres possibles en question de santé